Bonjour mes Lecteurs,
Voici un service presse que je suis heureuse de vous chroniquer en retour de lecture.
Dans le cadre idyllique du Brésil, nous suivons Cédric, qui a monté une affaire de foresterie avec ses amis et associés Illan et Nils.
Il va disparaître du jour au lendemain sans laisser de traces, mais en laissant toutes les embrouilles à ses associés belges qui se retrouvent dépouillés d'une partie de leur fortune et obligés d'improviser de nouvelles mesures inattendues.
Sa femme Maria va en faire voir de toutes les couleurs aux copains de son mari qui se retrouvent à composer malgré eux avec cette bonne femme aux mœurs légères et soudoyée par la mafia locale, représenté par le patibulaire Rosemeier.
L'intrigue tourne principalement autour de la Fazenda laja, ranch familial qui abrite la société mais aussi l'exploitation et dont tout ce petit monde réclame la propriété.
D'un côté Maria et la mafia avec leur malversations non légales et de l'autre les associés belges et leur avocat qui, dans le cadre de la loi, entreprennent tous les recours possible pour sauver ce qu'ils peuvent de leur société et de l'argent investi.
Un roman sans grand suspense pour moi, je l'ai trouvé traînant sur la longueur, l'histoire de la société et de ses affres ne m'ont pas embarquée dans l'histoire.
J'ai lu jusqu'au bout pour me convaincre que ce livre m’intéressait mais j'ai eu du mal à m'y plonger véritablement.
Rien à redire sur l'écriture fluide et littéraire de l'auteur. J'avoue que c'est bien écrit. La typographie reste à voir également, c'est dommage pour un ouvrage de cet acabit de s'alourdir d'une mise en page aussi aléatoire.
Je ne sais pas en quoi le roman inspiré de faits réels a eu des conséquences et des répercussions sur le monde de la foresterie au Brésil ou même si cette histoire concerne l'auteur, nous n'en saurons hélas pas davantage.
A vous de le lire et d'en faire un retour si vous avez aimé, car moi je ne suis pas plus enthousiasmée que cela par ce roman, il s'adresse surtout aux férus de suspense entrepreneurial.
Bonne lecture, amis Lecteurs !
Extrait : L'étranger qui découvre le Brésil réalise assez vite que les distances et les superficies sont des notions très relatives, sans aucun rapport avec les standards occidentaux, et qu'il vaut mieux être patient lorsqu’on doit se déplacer par voie terrestre.
Commentaires
Enregistrer un commentaire