AvisThriller : Promenons-nous tant que la mort n'y est pas de Mélanie DESFORGES (Autoédition)

 



Bonjour mes Lecteurs,

Voici un roman, sous forme de recueil de nouvelles thrilleriennes, que je viens vous chroniquer en retour de lecture.

Merci à son auteure de sa confiance.

Franck, un écrivain connu et reconnu pour ses romans policiers, se voir confier une dernière fois par son éditeur l'écriture d'un nouveau roman. Sauf que cette fois-ci, il va écrire dans le genre qui lui plaît. Et il a décidé également de tout donner, de se lâcher véritablement jusqu'à finir en apothéose.

A travers ce personnage de Franck, Mélanie nous sert un plat de nouvelles très appréciables de par la qualité d'écriture et du style savamment travaillé. C'est super bien écrit, vraiment ! 

J'ai constaté également que ce n'est pas un recueil à proprement parlé puisque les paragraphes concernant Franck et son histoire font le lien entre les diverses nouvelles, ce qui finalement s'apparente bien à un roman pour moi. Là aussi, il est classé dans la catégorie horreur, mais je ne le trouve pas si horrifique que cela.

J'ai trouvé l'excellence dans ce thriller, magnifié par la narration admirable des nouvelles paranormales et surnaturelles qui le composent et où l'auteure s'amuse à nous faire peur, à nous faire frissonner d'horreur. Et ça marche ! 

Je ne peux que vous conseiller vivement de lire ce roman d'où jaillit la profonde noirceur du personnage dans cette luminosité de nouvelles fraîches. Je suis admirative d'avoir lu une prouesse pareille. Je vous assure que c'est une auteure que je vais suivre de près et je vous enjoins à faire de même.

Bonne lecture, amis Lecteurs ! 

ExtraitÉcrire est égal à fric, fric est égal à nana et donc par extension à baise et alcool. Vous n'écrivez plus pour le plaisir mais parce que c'est devenu indispensable pour votre libido et votre portefeuille. En fait, vous n'écrivez plus du tout par plaisir, vous en êtes même carrément dégoûté. Vous repensez à ce petit con que vous étiez et qui hurlait à tous ceux qui voulaient bien l'écouter "Ouais, moi, je sus écrivain. Je vis de ma passion, très peu pour moi la vie d'esclave, enchaîné à mon patron. Je veux vivre, je veux garder ma liberté" (à lire avec une voix de bobo parisien). Ah,bah, il doit bien se marrer ce petit con maintenant.

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